Dès que l’on parle de météorologie et plus précisément de l’eau, on entre dans le gigantisme, sortant
totalement de toute mesure ou entendement. Pour se faire une idée plus précise des choses, il suffit
de comparer les précipitations des six dernières années, c’est-à-dire depuis 2017, année pour le moins
copieusement arrosée.