Ne le voit-on pas courber l’échine, emmitouflé dans ses habits d’hiver et taillant la vigne pendant que le froid pince et que le vent, dans sa fourberie, s’immisce dans un col de veste déjà roidit par l’humidité. Ne le voit-on pas dans la boue ou sous les pluies glaciales de février s’affairer avant que ne reprenne la végétation, prier pour que le gel, la grêle ou les maladies ne ruinent pas sa récolte ?